L’IWBI crée un groupe de travail afin d’examiner comment les bâtiments peuvent réduire l’impact de santé publique du COVID-19 et d’autres infections respiratoires.

Le docteur Risa Lavizzo-Mourey, ancienne présidente et PDG de RWJF, le docteur Jonathan Fielding de l’UCLA, Richard Carmona, 17e directeur du service de santé publique des États-Unis, et Joseph Allen, de la Harvard School of Public Health, vont coprésider cette initiative visant à renforcer le rôle des bâtiments dans la protection de la santé publique.

NEW YORK--()--L’International WELL Building Institute (IWBI) annonce aujourd’hui qu’il met sur pied un groupe de travail visant à réduire l’énorme impact de santé publique du COVID-19 et d’autres infections respiratoires. L’objectif est de définir le rôle crucial joué par les bâtiments, les organisations et les communautés dans la prévention, la préparation, la résilience et le redressement. Ce groupe de travail adoptera une approche large englobant les agents infectieux tant nouveaux que récurrents susceptibles d’affecter un grand nombre de personnes.

Ce groupe de travail est coprésidé par Risa Lavizzo-Mourey, M.D., MBA, ancienne présidente et PDG de la Robert Wood Johnson Foundation et professeure émérite de santé publique et d’équité dans la santé à l’université de Pennsylvanie, Jonathan Fielding, M.D., MPH, MA, MBA, professeur émérite à l’UCLA (Fielding School of Public Health et Geffen School of Medicine) et ancien directeur et collaborateur du département de santé publique du comté de Los Angeles, Richard Carmona, M.D., MPH, FACS, qui a été le 17e directeur du service de santé publique des États-Unis et est actuellement professeur émérite à l’université d’Arizona, et Joseph Allen, DSc, MPH, professeur adjoint et directeur du programme Healthy Buildings à la T. H. Chan School of Public Health de Harvard. Le groupe de travail réunira des experts en santé publique issus des pouvoirs publics, du monde universitaire et de la philanthropie, de même que des spécialistes en architecture, en conception des bâtiments et en immobilier.

« L’IWBI œuvre à élaborer des méthodes de conception des lieux et espaces où nos vies se déroulent qui soient capables d’améliorer notre santé et notre bien-être, en s’appuyant sur des éléments concluants », explique le président et PDG de l’IWBI, Rick Fedrizzi. « La création de ce groupe de travail fournit une structure permettant de se pencher sur ce défi immédiat en exploitant l’expertise et les connaissances des spécialistes mondiaux, parmi lesquels des médecins, des scientifiques de l’environnement et du comportement, de grands experts en conception des bâtiments ainsi que des leaders de l’innovation issus de grandes entreprises mondiales ».

« Ce groupe de travail peut nous aider à rapidement identifier des mesures pouvant directement être mises en œuvre afin d’apporter toutes les ressources requises permettant de promouvoir une culture mondiale de la santé qui ne laisse personne de côté », a déclaré le docteur Lavizzo-Mourey.

« Cette initiative qui arrive à point nommé va explorer la littérature scientifique afin d’identifier comment le bâti peut améliorer la santé de la population », ajoute le docteur Fielding.

L’ancien directeur du service de santé publique des États-Unis, Richard Carmona, salue l’IWBI pour cette initiative visant à réunir les experts mondiaux en santé publique, dans le but d’optimaliser le bâti pour la prévention, l’intervention, l’atténuation et le redressement face à « tous les aléas » auxquels les États-Unis sont exposés, notamment le COVID-19. Le bâti joue un rôle crucial dans la santé physique et mentale, de même que dans la prévention des maladies.

« Nous ne pouvons trop souligner combien il est urgent d’agir afin de limiter les impacts physiques, émotionnels et économiques de ce virus et d’autres infections respiratoires », commente le docteur Allen. « Il est évident qu’améliorer la conception de nos bâtiments ainsi que les politiques, protocoles et cahiers des charges respectés par les organisations peut avoir un impact énorme afin d’œuvrer tous ensemble à protéger et améliorer la santé de chacun. Cette pandémie est le grand défi de notre époque, et le bâti jouera un rôle central dans notre riposte et notre redressement ».

« L’objectif du groupe de travail est double », explique la présidente de l’IWBI, Rachel Gutter. « Tout d’abord, il s’agit d’élaborer des ressources et recommandations de référence à l’intention des individus, des organisations et des communautés, afin que chacun puisse appliquer les solutions directement exploitables et les stratégies éprouvées de gestion des bâtiments et des organisations. Ensuite, le groupe de travail doit évaluer comment la norme de construction WELL peut encore être renforcée, afin que ce système, qui concerne plus de 45 millions de mètres carrés d’espace à travers 58 pays, puisse au mieux continuer d’appuyer la prévention, la préparation, la résilience et le redressement en cette période critique de même que dans le futur ».

Rachel Gutter indique que de plus amples informations sur le groupe de travail et sur la façon dont chacun peut s’impliquer sont disponibles ici.

« La norme de construction WELL reflète déjà l’énorme volume de recherches et de données sur la santé que nous avons amassé et intégré depuis le lancement de la norme fin 2014 », souligne-t-elle. « La donne a cependant changé dès le début de cette année avec la propagation mondiale de ce virus. Nous mettons tout en œuvre pour nous assurer de partager gratuitement tout ce que nous avons appris grâce à la communauté des spécialistes mondiaux. Nous devons à chacun de veiller à ce que les solutions complètes et fondées sur des éléments concluants que nous avons codifiées dans la norme WELL nous permettent de progresser vers une meilleure santé et une résilience renforcée, pour chacun de nous, où qu’il se trouve ».

À propos de l’International WELL Building Institute
L’International WELL Building Institute (IWBI) est à la tête du mouvement mondial de transformation du bâti, des communautés et des organisations pour le bien-être des individus. La dernière version de la norme de construction bien connue de l’Institut est la version pilote WELL v2. L’Institut a également conçu un système d’évaluation à l’échelle d’un quartier (WELL Community Standard), qui établit une nouvelle référence mondiale pour l’évaluation du bien-être au sein d’une communauté. La norme WELL se concentre exclusivement sur la façon dont les bâtiments et les communautés, et tout ce qui s’y trouve, peuvent améliorer notre confort, conduire à de meilleurs choix, et globalement améliorer, plutôt que compromettre, notre santé et notre bien-être. L’IWBI mobilise les spécialistes du bien-être à travers la gestion de la certification WELL AP, la conduite de recherches appliquées, l’élaboration de ressources de formation, et le plaidoyer en faveur de politiques favorisant la santé et le bien-être pour chacun et partout. L’IWBI participe au Pacte mondial des Nations Unies, la plus importante initiative mondiale de responsabilité sociale des entreprises, et aide ces dernières à progresser dans la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) définis par l’ONU à travers l’application de la norme WELL. De plus amples informations sur la norme WELL sont disponibles ici.

International WELL Building Institute, IWBI, WELL Building Standard, WELL v2, WELL Certified, WELL AP, WELL, WELL Portfolio, The WELL Conference, WELL Community Standard, etc., de même que les logos correspondants, sont des marques commerciales ou des marques de certification d'International WELL Building Institute pbc aux États-Unis et dans les autres pays.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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Service presse :
Judith Webb, media@wellcertified.com

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