SAN FRANCISCO--(BUSINESS WIRE)--Le nom d’Andersen va faire ses débuts en Israël et au Moyen-Orient cette semaine ; Benelli Tax s’apprête en effet à adopter officiellement le nom d’Andersen en devenant cabinet membre d’Andersen Global. Le cabinet fiscal, basé à Tel-Aviv, a conclu un accord de collaboration avec Andersen Global en janvier 2017 et est maintenant un cabinet membre à part entière opérant sous la dénomination Andersen Tax.
« Nous sommes ravis de formaliser notre relation avec Andersen Global et d’adopter le nom d’Andersen qui représente de façon si évidente nos valeurs », a déclaré Ilan Ben-Eli, Associé principal d’Andersen Tax en Israël. « Notre priorité est et continuera d’être l’offre d’un service à la clientèle exceptionnel, et notre intégration avec nos collègues d’Andersen dans le monde renforce nos capacités transfrontalières. »
Sous le nom d’Andersen Tax, le cabinet continuera d’aider les multinationales, les startups et les individus fortunés américains et israéliens dans le cadre de leurs affaires fiscales internationales, comme les fusions et acquisitions, le contrôle préalable fiscal, les services fiscaux liés aux transactions, la rémunération en actions, les prix de transfert, la comptabilité fiscale, et les montages de sociétés fiscalement efficaces.
Mark Vorsatz, PDG d’Andersen Tax, a ajouté : « Pendant tout le temps qu’ils ont passé avec nous en tant que cabinet collaborateur et aujourd’hui en tant que cabinet membre, Ilan et son équipe ont su démontrer leur engagement profond envers leur clientèle et la volonté d’apporter de la croissance à notre organisation mondiale de premier rang. Israël représente un centre international de développements technologiques et novateurs. Il s’agit d’un marché clé pour notre cabinet, et j’ai hâte de continuer à renforcer les bases solides que nous avons établies au Moyen-Orient. »
Andersen Global est une association internationale de cabinets membres qui rassemble plus de 2 000 professionnels et dont la présence s’étend à plus de 68 sites à travers le monde.
Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.
