VANCOUVER, Colombie-Britannique--(BUSINESS WIRE)--Banque HSBC Canada :
Commentaire de Linda Seymour, présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada1, au sujet des résultats :
« Nous avons réalisé notre total du résultat d’exploitation trimestriel le plus élevé en dix ans, celui-ci ayant profité de hausses dans trois de nos quatre secteurs d’activité, et ce, tant pour le trimestre que pour le semestre. Bien que les majorations de taux par la banque centrale aient eu une incidence positive, l’intensification des activités et l’augmentation des volumes des transactions de tous nos secteurs ont été les véritables moteurs de notre réussite. Notre stratégie de croissance à long terme demeure la même, et nous continuons de gérer nos activités avec prudence et de surveiller de près les indicateurs économiques à court terme.
J’apprécie à sa juste valeur le vote de confiance que nos clients, tant ceux de longue date que les nouveaux, nous ont accordé afin que nous les aidions à concrétiser leurs aspirations en ces temps difficiles, ainsi que la façon dont notre personnel leur a démontré son appui indéfectible. Nous bâtissons un modèle d’affaires durable qui nous guidera, nous et notre clientèle, sur la voie du succès. Quel que soit l’endroit où nos clients se trouveront pour concrétiser leurs ambitions, que ceux-ci aient besoin de solutions ici même au pays, de liens à l’échelle internationale ou de soutien dans leur transition vers une économie sobre en carbone, nous saurons, par nos compétences uniques, les y accompagner. »
Faits saillants2 de la performance financière (comparaison des premiers semestres de 2022 et de 2021)
- Le total du résultat d’exploitation a été de 1 169 M$, en hausse de 8,6 %, du fait de l’amélioration du bilan, aux majorations de taux pratiquées par la banque centrale et à l’intensification des activités des clients, et ce, même si les produits de négociation ont fléchi.
- Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 490 M$, ayant diminué d’à peine 1 M$, ou 0,2 %. Ce recul a découlé en grande partie d’une charge importante au titre des pertes de crédit attendues (« PAC ») sur les prêts de stade 3 en lien avec un prêt élevé dans le secteur de l’aviation. Ce facteur été compensé par un résultat d’exploitation des plus solides.
- Tous nos secteurs d’activité ont été rentables.
- Les PCA ont consisté en une charge de 40 M$, comparativement à une reprise de 56 M$ au cours de l’exercice précédent. Les PCA ont résulté essentiellement de la charge dont il a été mention ci-dessus ainsi que d’une charge liée aux prêts productifs attribuable à une détérioration des variables macroéconomiques prospectives, laquelle reflète les pressions inflationnistes et les ratés de la chaîne d’approvisionnement. Ces facteurs ont été atténués par une reprise liée aux prêts productifs au titre des corrections de valeur attribuables à la COVID-19 au premier trimestre.
- Le total des charges d’exploitation s’est allégé de 2 M$, ou 0,3 %, car nous avons continué de gérer nos coûts avec prudence malgré les pressions inflationnistes tout en procédant à des investissements stratégiques afin de faire croître nos secteurs d’activité.
- Le total de l’actif a été de 125,0 G$, en hausse de 5,2 G$, ou 4,3 %.
- Le ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 13 s’est situé à 11,1 %, en baisse de 290 points de base par rapport à celui de 14,0 % en 2021.
- Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire4 a atteint 13,3 %, en hausse de 140 points de base en regard des 11,9 % enregistrés en 2021.
Faits saillants2 de la performance financière (comparaison des deuxièmes trimestres de 2022 et de 2021)
- Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est établi à 198 M$, ayant fléchi de 61 M$, ou 24 %. Cette diminution a découlé en grande partie d’une charge importante au titre des PCA sur les prêts de stade 3 en lien avec un prêt élevé dans le secteur de l’aviation ainsi que d’une charge au titre des prêts productifs attribuable à la détérioration des variables macroéconomiques prospectives. Le résultat d’exploitation est demeuré solide, atteignant 599 M$, ce qui signale une progression de 9,5 %. Le total des charges d’exploitation s’est allégé de 9 M$, ou 2,7 %.
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La Banque HSBC Canada, ainsi que ses filiales (collectivement, la « banque », « nous », « notre »), est une filiale en propriété exclusive indirecte de HSBC Holdings plc (« HSBC Holdings »). Dans le présent document, HSBC Holdings est désigné comme le « Groupe HSBC » ou le « Groupe ». |
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Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). Les abréviations « M$ » et « G$ » signifient millions et milliards de dollars canadiens, respectivement. |
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3 |
Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du Bureau du surintendant des institutions financières (« BSIF ») et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III. |
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Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les Normes internationales d’information financière (« IFRS »). Pour plus d’informations au sujet de ces mesures financières, il y a lieu de se reporter à la rubrique « Utilisation de mesures financières supplémentaires » du présent document. |
Analyse des résultats financiers consolidés du deuxième trimestre clos le 30 juin 20221
Les produits d’intérêts nets se sont chiffrés à 369 M$ pour le trimestre, soit une augmentation de 63 M$, ou 21 %, et à 706 M$ pour le semestre, ce qui représente une hausse de 118 M$, ou 20 %. Ces augmentations ont résulté de l’amélioration du bilan pour tous les secteurs d’activité et de l’incidence des hausses de taux pratiquées par la banque centrale au cours de l’exercice.
Les produits de commissions nets ont totalisé 196 M$, n’ayant pas changé pour le trimestre, et se sont établis à 393 M$ pour le semestre, enregistrant une hausse de 1 M$, ou 0,3 %. Cette augmentation a résulté de l’intensification des activités au chapitre des cartes et des transactions des secteurs Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et Services aux entreprises, d’une moyenne plus élevée des fonds d’investissement sous gestion de Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers et de l’accroissement des volumes des acceptations bancaires des Services aux entreprises. Ces facteurs ont été annulés en partie par une diminution des commissions générées par les services-conseils des Services bancaires internationaux en raison du rendement supérieur enregistré au cours de l’exercice précédent et du moment auquel les transactions ont eu lieu au cours du présent exercice.
Les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction du trimestre se sont chiffrés à 24 M$, ce qui représente un recul de 4 M$, ou 14 %, du fait principalement d’une baisse de la valeur des facilités de syndication de prêts. Ce facteur a été annulé en partie par la hausse des produits d’intérêts nets attribuables aux activités de négociation en raison de la montée des taux d’intérêt et des variations favorables des ajustements d’évaluation de crédit et de la juste valeur liés au financement. Pour le semestre, les produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction ont été de 51 M$, ayant reculé de 7 M$, ou 12 %, à cause des facteurs précités et d’une variation défavorable de l’inefficacité des couvertures.
Les autres éléments de produits se sont établis à 10 M$ pour le trimestre, ce qui représente une compression de 7 M$, ou 41 %, et se sont situés à 19 M$ pour le semestre, ayant chuté de 19 M$, ou 50 %. Ces diminutions s’expliquent par une baisse des profits liée à la cession de placements financiers par suite du rééquilibrage du portefeuille d’actifs liquides de la banque.
La variation des PCA pour le deuxième trimestre de 2022 a consisté en une charge de 82 M$, alors qu’une reprise de 40 M$ avait été constatée pour la période correspondante de l’exercice précédent. La charge pour le trimestre a découlé essentiellement d’une charge importante au titre des PCA sur les prêts de stade 3 en lien avec un prêt dans le secteur de l’aviation, lequel a été sorti du bilan en raison de nouveaux facteurs défavorables. Les PCA au titre des prêts productifs ont également donné lieu à une charge attribuable à la détérioration des variables macroéconomiques prospectives par suite essentiellement des pressions inflationnistes et des ratés de la chaîne d’approvisionnement causés par la pandémie et l’invasion de l’Ukraine par la Russie. En 2021, la reprise avait résulté principalement de l’amélioration, à ce moment, des variables macroéconomiques prospectives à l’égard des prêts productifs.
Les PCA du semestre ont entraîné une charge de 40 M$, comparativement à une reprise de 56 M$ pour la période correspondante de l’exercice précédent, du fait d’une charge importante au titre des PCA sur les prêts de stade 3 en lien avec un prêt élevé dans le secteur de l’aviation. Ce prêt a été sorti du bilan au deuxième trimestre de 2022 à cause de nouveaux facteurs défavorables. Les PCA au titre des prêts productifs ont donné lieu à une reprise sur des corrections de valeur essentiellement attribuables à la COVID-19 liée à ces prêts au premier trimestre, sous l’effet d’une légère amélioration des variables macroéconomiques de quatre des scénarios ayant servi à estimer les PCA. Ce facteur a été atténué par la comptabilisation, au deuxième trimestre, d’une charge au titre des prêts productifs par suite de la détérioration des variables macroéconomiques prospectives, ce qui reflète les répercussions des pressions inflationnistes et des ratés de la chaîne d’approvisionnement causés par la pandémie et l’invasion de l’Ukraine par la Russie. En 2021, la reprise avait résulté essentiellement de l’amélioration, à ce moment, des variables macroéconomiques prospectives à l’égard des prêts productifs, ce qui avait été atténué par des pertes de valeur liées à des prêts non productifs dans les secteurs de l’énergie et des produits alimentaires en gros.
Le total des charges d’exploitation a été de 319 M$ pour le trimestre, s’étant allégé de 9 M$, ou 2,7 %, et il s’est chiffré à 639 M$ pour le semestre, ce qui signale une baisse de 2 M$, ou 0,3 %. Ces diminutions ont résulté essentiellement du recul des dépenses puisque des coûts avaient été engagés au cours de l’exercice précédent afin d’instaurer un mode de travail hybride. Confrontés aux pressions inflationnistes, nous avons continué de gérer nos coûts avec prudence tout en procédant à des investissements stratégiques afin de faire croître nos secteurs d’activité et de soutenir des projets de réglementation.
En ce qui concerne la charge d’impôt sur le résultat, le taux d’imposition effectif pour le deuxième trimestre de 2022 a été de 26,7 %. Le taux prévu par la loi étant de 26,5 %, la charge d’impôt a quelque peu augmenté. Pour le deuxième trimestre de 2021, le taux d’imposition effectif avait été de 26,8 %.
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Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). |
Dividendes
Dividendes déclarés au deuxième trimestre de 2022
Au cours du deuxième trimestre de 2022, la banque a déclaré des dividendes trimestriels réguliers de 12 M$ sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation pour le deuxième trimestre de 2022 ainsi qu’un premier dividende intermédiaire de 90 M$ sur ses actions ordinaires pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2022.
Dividendes déclarés au troisième trimestre de 2022
Le 22 juillet 2022, la banque a déclaré, pour le troisième trimestre de 2022, des dividendes trimestriels réguliers sur toutes ses séries d’actions privilégiées de catégorie 1 en circulation. Ces dividendes seront versés, conformément à leurs modalités et de la façon habituelle, le 30 septembre 2022 ou le premier jour ouvrable suivant, à l’actionnaire inscrit le 15 septembre 2022.
Le 22 juillet 2022, la banque a également déclaré, pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2022, un deuxième dividende intermédiaire de 90 M$ sur ses actions ordinaires, dividende qui sera versé au plus tard le 30 septembre 2022 à l’actionnaire inscrit le 22 juillet 2022.
Puisque les dividendes trimestriels sur les actions privilégiées pour le troisième trimestre de 2022 et le deuxième dividende intermédiaire sur les actions ordinaires pour 2022 ont été déclarés après le 30 juin 2022, leur montant n’a pas été inscrit au passif du bilan.
Résultats des secteurs d’activité pour le deuxième trimestre clos le 30 juin 20221
Services aux entreprises (« SE »)
Le total du résultat d’exploitation s’est fixé à 293 M$ pour le trimestre, s’étant accru de 39 M$, ou 15 %, et pour le semestre, il a atteint 573 M$, affichant une hausse de 80 M$, ou 16 %. Les SE ont conservé leur élan en 2022, les prêts et acceptations s’étant accrus de 3,9 G$ dans les six premiers mois et les soldes des dépôts ayant augmenté en regard de ceux enregistrés au deuxième trimestre de 2021. Les produits d’intérêts nets se sont raffermis grâce à l’accroissement des volumes et à l’incidence des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du présent exercice. De même, les produits autres que d’intérêts ont progressé, les volumes des acceptations bancaires et les activités au chapitre des cartes de crédit d’entreprise et des paiements au pays et à l’échelle internationale s’étant élargis.
Notre ambition est de demeurer le partenaire financier international de prédilection pour nos clients et de continuer à les aider à réaliser leurs projets de transition vers une économie à zéro émission nette. Tirant parti de notre réseau international et grâce à des investissements continus dans nos principales plateformes du Service mondial de gestion des liquidités et de la trésorerie et du Commerce international et financement des comptes clients, nous sommes en mesure de resserrer les liens avec notre clientèle grâce à des services liés aux transactions primés et de l’aider à combler ses besoins bancaires au pays et à l’étranger. L’attention soutenue que nous lui accordons nous a valu, au premier trimestre de 2022, les mentions de meilleure banque pour le financement du commerce international et de meilleure banque pour la qualité des services au Canada de la part du magazine Euromoney.
Pour le trimestre, le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est chiffré à 116 M$, s’étant replié de 75 M$, ou 39 %, et pour le semestre, il a été de 333 M$, s’étant affaibli de 9 M$, ou 2,6 %, et ce, essentiellement à cause d’une variation défavorable des PCA et d’une augmentation des charges d’exploitation puisque nous effectuons des investissements stratégiques afin de faire croître nos secteurs d’activité. Ces facteurs ont été neutralisés en partie par l’amélioration du résultat d’exploitation.
Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers (« GPSBP »)
Le total du résultat d’exploitation a atteint 232 M$ pour le trimestre, ce qui correspond à une hausse de 23 M$, ou 11 %, et pour le semestre, il a été de 449 M$, s’étant accru de 33 M$, ou 7,9 %. Ces hausses ont découlé de la forte progression des volumes des prêts et des soldes des dépôts ainsi que de l’amélioration des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale, facteurs neutralisés en partie par le recul des produits associés à la gestion de la trésorerie.
Nous avons continué d’élargir notre clientèle, mettant l’accent sur celle à l’échelle internationale et proposant des produits qui s’avèrent concurrentiels sur le marché et qui comblent ses besoins. De plus, nous investissons toujours dans nos canaux d’acquisition et de distribution ainsi que dans les perfectionnements d’ordre numérique afin d’améliorer l’expérience client. Grâce à ces perfectionnements, la publication Cosmopolitan The Daily nous a offert les distinctions de meilleure expérience d’accueil du client à l’international et de meilleure banque pour les petites entreprises au Canada.
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat du semestre a atteint un nouveau sommet2. Pour le trimestre, il s’est chiffré à 65 M$, ayant bondi de 11 M$, ou 20 % et pour le semestre, il s’est dégagé à 125 M$, s’étant accru de 34 M$, ou 37 %. Ces augmentations sont essentiellement imputables à l’amélioration du résultat d’exploitation, facteur atténué par une hausse des PCA.
Services bancaires internationaux (« SBI »)3
Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est chiffré à 39 M$, ce qui représente un recul de 13 M$, ou 25 %, et celui du semestre a totalisé 86 M$, en baisse de 26 M$, ou 23 %. Dans la première moitié de 2022, nous avons encore su tirer parti de notre excellent portefeuille, mais le rendement supérieur enregistré un an plus tôt et le moment auquel les transactions ont eu lieu au cours du présent exercice ont entraîné une diminution des commissions générées par les services-conseils. Le repli du résultat d’exploitation a également résulté de la variation défavorable de la valeur d’une facilité de syndication de prêts, ce qui a été atténué par l’amélioration du rendement du portefeuille de transactions bancaires et par l’élargissement des marges par suite des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours du premier semestre de 2022.
Les SBI conservent leur stratégie qui est bien établie, à savoir proposer des solutions bancaires de gros sur mesure en tirant parti du vaste réseau de distribution de la HSBC pour offrir des produits et solutions qui répondent aux besoins de nos clients internationaux.
Comme l’économie canadienne est toujours en voie de se relever de la pandémie, nous continuons de travailler en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques auxquels ils sont confrontés et de les seconder dans leurs efforts pour renouer avec la croissance et dans leurs plans de transition vers une économie à zéro émission nette.
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat s’est dégagé à 15 M$ pour le trimestre, s’étant replié de 24 M$, ou 62 %. Pour le semestre, il s’est chiffré à 38 M$, ce qui signale un recul de 50 M$, ou 57 %. Ces diminutions ont résulté principalement d’une baisse des produits autres que d’intérêts et d’une variation défavorable des PCA, ce qui a été atténué par une augmentation des produits d’intérêts nets.
Marchés et Services liés aux valeurs mobilières (« MSVM »)3
Le total du résultat d’exploitation du trimestre s’est fixé à 31 M$, en hausse de 7 M$, ou 29 %, et celui du semestre a atteint 57 M$, ce qui traduit une progression de 12 M$, ou 27 %. Ces augmentations ont découlé des majorations de taux pratiquées par la banque centrale au cours des premier et deuxième trimestres ainsi que de la montée des produits tirés de la négociation des produits de change.
Les MSVM conservent leur stratégie, laquelle est bien établie, à savoir proposer des solutions sur mesure en tirant parti du vaste réseau de distribution de la HSBC pour offrir des produits et solutions qui répondent aux besoins de nos clients internationaux.
Comme l’économie canadienne est toujours en voie de se relever de la pandémie, nous continuons de travailler en étroite collaboration avec nos clients afin de comprendre les défis uniques auxquels ils sont confrontés et de les seconder dans leurs efforts pour renouer avec la croissance et dans leurs plans de transition vers une économie à zéro émission nette.
Le bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat a bondi de 8 M$, ou 80 %, se situant à 18 M$ pour le trimestre, et il a monté de 12 M$, ou 63 %, s’établissant à 31 M$ pour le semestre, ce qui provient surtout de l’amélioration du résultat d’exploitation et de la diminution des charges d’exploitation.
Centre général4
La perte avant la charge d’impôt sur le résultat a été de 16 M$ pour le trimestre, ce qui est moindre que celle de 35 M$ enregistrée à la même période un an plus tôt. Pour le semestre, cette perte s’est située à 37 M$, ayant augmenté en regard de celle de 49 M$ constatée pour les six mois correspondants de l’exercice précédent. Ces améliorations ont découlé principalement d’une baisse des charges d’exploitation puisque des coûts avaient été engagés un an plus tôt afin d’instaurer un mode de travail hybride, facteur qui a été annulé en partie par le recul des produits autres que d’intérêts.
1 |
Comparaison du trimestre et du semestre clos le 30 juin 2022 et des périodes correspondantes de l’exercice précédent (sauf indication contraire). |
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2 |
Record semestriel depuis la formation de GPSBP en tant que secteur d’activité mondial distinct en 2011. |
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3 |
Avec prise d’effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d’activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d’activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour les périodes à l’étude. |
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4 |
Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité. |
Pour évaluer sa performance, la banque utilise des mesures financières supplémentaires qui sont établies à partir de chiffres calculés selon les IFRS. Ce qui suit constitue un glossaire des mesures pertinentes qui sont employées tout au long de ce document, mais qui ne figurent pas dans les états financiers consolidés. Les mesures financières supplémentaires suivantes comprennent les soldes moyens, et les chiffres annualisés de l’état du résultat net, tel qu’il est indiqué, sont utilisés tout au long de ce document.
Le rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire correspond au bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire annualisé de la période, divisé par la moyenne1 des capitaux propres ordinaires.
Le rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques correspond au bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat annualisé, divisé par la moyenne1 des actifs pondérés en fonction des risques.
Le ratio d’efficience correspond au total des charges d’exploitation exprimé en pourcentage du total du résultat d’exploitation.
Le ratio du levier d’exploitation s’entend de l’écart entre le taux de variation du résultat d’exploitation et celui des charges d’exploitation.
La marge d’intérêts nette désigne les produits d’intérêts nets exprimés en pourcentage annualisé de la moyenne1 des actifs productifs d’intérêts.
La variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s’entend de la variation des pertes de crédit attendues2 annualisée, exprimée en pourcentage de la moyenne1 du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.
La variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations s’entend de la variation des pertes de crédit attendues2 annualisée sur les actifs de stade 3, exprimée en pourcentage de la moyenne1 du montant brut des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.
Le total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et des acceptations de stade 3 s’entend du total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues2 sur les prêts et avances à des clients et les engagements de clients en contrepartie d’acceptations de stade 3 exprimé en pourcentage des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations de stade 3.
Les sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances à des clients et des acceptations correspondent aux sorties du bilan nettes annualisées, exprimées en pourcentage de la moyenne1 du montant net des prêts et avances à des clients et des engagements de clients en contrepartie d’acceptations.
Le ratio des avances à des clients en pourcentage des comptes des clients correspond aux prêts et avances à des clients exprimés en pourcentage des comptes des clients.
1 |
La marge d’intérêts nette est calculée à l’aide des soldes moyens quotidiens. Toutes les autres mesures financières mettent en jeu des soldes moyens qui sont établis à l’aide des soldes à la clôture du trimestre. |
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2 |
La variation des pertes de crédit attendues a essentiellement trait aux prêts, aux acceptations et aux engagements. |
(Montants en M$, sauf indication contraire) |
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Performance et situation financières |
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Trimestre clos le |
|
Semestre clos le |
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30 juin 2022 |
30 juin 2021 |
30 juin 2022 |
30 juin 2021 |
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Performance financière de la période |
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|
Total du résultat d’exploitation |
599 |
547 |
1 169 |
1 076 |
|
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
198 |
259 |
490 |
491 |
|
Bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire |
133 |
179 |
336 |
337 |
|
Variation des pertes de crédit attendues et autres pertes de valeur liées au crédit – (charge)/reprise |
(82) |
40 |
(40) |
56 |
|
Charges d’exploitation |
(319) |
(328) |
(639) |
(641) |
|
Bénéfice de base et dilué par action ordinaire ($) |
0,24 |
0,32 |
0,61 |
0,61 |
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|
Ratios financiers (%)1 |
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|
Rendement des capitaux propres moyens attribuables à l’actionnaire ordinaire |
11,2 |
12,6 |
13,3 |
11,9 |
|
Rendement de la moyenne des actifs pondérés en fonction des risques |
1,9 |
2,6 |
2,4 |
2,5 |
|
Ratio d’efficience |
53,3 |
60,0 |
54,7 |
59,6 |
|
Ratio du levier d’exploitation |
12,3 |
1,1 |
9,0 |
1,1 |
|
Marge d’intérêts nette |
1,37 |
1,24 |
1,32 |
1,18 |
|
Variation des pertes de crédit attendues en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations2 |
0,43 |
s. o. |
0,11 |
s. o. |
|
Variation des pertes de crédit attendues sur les prêts et avances et les acceptations de stade 3 en pourcentage de la moyenne du montant brut des prêts et avances et des acceptations |
0,35 |
0,02 |
0,18 |
0,07 |
|
Total de la correction de valeur pour pertes de crédit attendues de stade 3 en pourcentage du montant brut des prêts et avances et des acceptations de stade 3 |
27,9 |
38,5 |
27,9 |
38,5 |
|
Sorties du bilan nettes en pourcentage de la moyenne des prêts et avances et des acceptations. |
0,67 |
0,12 |
0,35 |
0,09 |
|
Mesures financières et mesures du capital
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Au |
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|
30 juin 2022 |
31 déc. 2021 |
Situation financière à la clôture de la période |
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Total de l’actif |
125 037 |
119 853 |
Prêts et avances à des clients |
74 326 |
68 699 |
Comptes des clients |
75 260 |
73 626 |
Ratio des avances à des clients en pourcentage des comptes des clients (%)1 |
98,8 |
93,3 |
Capitaux propres attribuables à l’actionnaire ordinaire |
4 667 |
5 776 |
|
|
|
Mesures du capital, du levier et de la liquidité |
|
|
Ratio des capitaux propres ordinaires de catégorie 1 (%)3 |
11,1 |
14,0 |
Ratio du capital de catégorie 1 (%)3 |
13,6 |
16,8 |
Ratio du capital total (%)3 |
15,9 |
19,3 |
Ratio de levier (%)3 |
4,5 |
5,8 |
Actifs pondérés en fonction des risques (M$)3 |
43 222 |
39 836 |
Ratio de liquidité à court terme (%)4 |
141 |
147 |
1 |
Il y a lieu de se reporter à la section « Utilisation de mesures financières supplémentaires » figurant dans le présent document pour obtenir un glossaire des mesures utilisées. |
|
2 |
La mention « s. o. » est indiquée lorsque la banque est en position de reprise nette, ce qui donne lieu à un ratio négatif. |
|
3 |
Les ratios du capital et les actifs pondérés en fonction des risques sont calculés au moyen de la ligne directrice sur les normes de fonds propres du BSIF et le ratio de levier est calculé conformément à la ligne directrice sur les exigences de levier de ce même organisme. Ces lignes directrices sont fondées sur celles de Bâle III. |
|
4 |
Le ratio de liquidité à court terme (Liquidity Coverage Ratio ou « LCR ») est calculé en accord avec la ligne directrice sur les normes de liquidité du BSIF, laquelle intègre les normes de Bâle en ce domaine. Le LCR indiqué dans ce tableau a été calculé à partir des moyennes des chiffres à la clôture de chaque mois du trimestre. |
(Montants en M$, sauf les montants par action) |
Trimestre clos le |
|
Semestre clos le |
||||
|
30 juin 2022 |
|
30 juin 2021 |
|
30 juin 2022 |
|
30 juin 2021 |
|
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|
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|
|
|
Produits d’intérêts |
630 |
|
446 |
|
1 101 |
|
897 |
Charges d’intérêts |
(261) |
|
(140) |
|
(395) |
|
(309) |
Produits d’intérêts nets |
369 |
|
306 |
|
706 |
|
588 |
Produits de commissions |
224 |
|
221 |
|
446 |
|
446 |
Charges de commissions |
(28) |
|
(25) |
|
(53) |
|
(54) |
Produits de commissions nets |
196 |
|
196 |
|
393 |
|
392 |
Produits nets tirés des instruments financiers détenus à des fins de transaction. |
24 |
|
28 |
|
51 |
|
58 |
Variations de la juste valeur des autres instruments financiers devant obligatoirement être évalués à la juste valeur par le biais du résultat net |
(1) |
|
3 |
|
(1) |
|
3 |
Profits diminués des pertes liés aux placements financiers |
— |
|
7 |
|
2 |
|
22 |
Autres produits d’exploitation |
11 |
|
7 |
|
18 |
|
13 |
Total du résultat d’exploitation |
599 |
|
547 |
|
1 169 |
|
1 076 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Variation des pertes de crédit attendues et autres pertes de valeur liées au crédit – (charge)/reprise |
(82) |
|
40 |
|
(40) |
|
56 |
Résultat d’exploitation net |
517 |
|
587 |
|
1 129 |
|
1 132 |
Rémunération et avantages du personnel |
(152) |
|
(152) |
|
(303) |
|
(311) |
Charges générales et administratives |
(138) |
|
(127) |
|
(280) |
|
(255) |
Amortissement et perte de valeur des immobilisations corporelles |
(16) |
|
(30) |
|
(31) |
|
(47) |
Amortissement et perte de valeur des immobilisations incorporelles |
(13) |
|
(19) |
|
(25) |
|
(28) |
Total des charges d’exploitation |
(319) |
|
(328) |
|
(639) |
|
(641) |
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
198 |
|
259 |
|
490 |
|
491 |
Charge d’impôt sur le résultat |
(53) |
|
(69) |
|
(131) |
|
(132) |
Bénéfice de la période |
145 |
|
190 |
|
359 |
|
359 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Bénéfice attribuable à l’actionnaire ordinaire |
133 |
|
179 |
|
336 |
|
337 |
Bénéfice attribuable au détenteur d’actions privilégiées |
12 |
|
11 |
|
23 |
|
22 |
Bénéfice attribuable à l’actionnaire |
145 |
|
190 |
|
359 |
|
359 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Nombre moyen d’actions ordinaires en circulation (en milliers) |
548 668 |
|
548 668 |
|
548 668 |
|
548 668 |
Bénéfice de base et dilué par action ordinaire ($) |
0,24 |
|
0,32 |
|
0,61 |
|
0,61 |
|
Au |
||
(Montants en M$) |
30 juin 2022 |
|
31 déc. 2021 |
|
|
|
|
ACTIF |
|
|
|
Trésorerie et soldes détenus dans la banque centrale |
5 172 |
|
13 955 |
Effets en cours de compensation auprès d’autres banques |
16 |
|
9 |
Actifs détenus à des fins de transaction |
5 154 |
|
2 907 |
Autres actifs financiers devant obligatoirement être évalués à la juste valeur par le biais
|
19 |
|
18 |
Dérivés |
4 836 |
|
2 773 |
Prêts et avances à des banques |
517 |
|
1 659 |
Prêts et avances à des clients |
74 326 |
|
68 699 |
Prises en pension à des fins autres que de transaction |
6 992 |
|
9 058 |
Placements financiers |
20 385 |
|
14 969 |
Autres actifs |
3 448 |
|
1 377 |
Paiements anticipés et produits à recevoir |
246 |
|
186 |
Engagements de clients en contrepartie d’acceptations |
3 073 |
|
3 548 |
Actifs d’impôt exigible |
257 |
|
148 |
Immobilisations corporelles |
328 |
|
263 |
Goodwill et immobilisations incorporelles |
188 |
|
181 |
Actifs d’impôt différé |
80 |
|
103 |
Total de l’actif |
125 037 |
|
119 853 |
|
|
|
|
PASSIF ET CAPITAUX PROPRES |
|
|
|
Passif |
|
|
|
Dépôts effectués par des banques |
495 |
|
1 313 |
Comptes des clients |
75 260 |
|
73 626 |
Mises en pension à des fins autres que de transaction |
7 327 |
|
8 044 |
Effets en transit vers d’autres banques |
441 |
|
253 |
Passifs détenus à des fins de transaction |
3 585 |
|
3 598 |
Dérivés |
5 326 |
|
2 978 |
Titres de créance émis |
16 833 |
|
14 339 |
Autres passifs |
5 272 |
|
3 517 |
Acceptations |
3 081 |
|
3 556 |
Charges à payer et produits différés |
381 |
|
401 |
Passifs au titre des prestations de retraite |
209 |
|
267 |
Créances subordonnées |
1 011 |
|
1 011 |
Provisions |
49 |
|
74 |
Total du passif |
119 270 |
|
112 977 |
|
|
|
|
Capitaux propres |
|
|
|
Actions ordinaires |
1 125 |
|
1 725 |
Actions privilégiées |
1 100 |
|
1 100 |
Autres réserves |
(618) |
|
(23) |
Résultats non distribués |
4 160 |
|
4 074 |
Total des capitaux propres attribuable à l’actionnaire |
5 767 |
|
6 876 |
Total du passif et des capitaux propres |
125 037 |
|
119 853 |
(Montants en M$) |
Trimestre clos le |
|
Semestre clos le |
||||
|
30 juin 2022 |
|
30 juin 2021 |
|
30 juin 2022 |
|
30 juin 2021 |
Services aux entreprises |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d’intérêts nets |
173 |
|
142 |
335 |
|
269 |
|
Produits autres que d’intérêts |
120 |
|
112 |
238 |
|
224 |
|
Total du résultat d’exploitation |
293 |
|
254 |
573 |
|
493 |
|
Variation des pertes de crédit attendues – (charge)/reprise |
(77) |
|
28 |
(37) |
|
36 |
|
Résultat d’exploitation net |
216 |
|
282 |
536 |
|
529 |
|
Total des charges d’exploitation |
(100) |
|
(91) |
(203) |
|
(187) |
|
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
116 |
|
191 |
333 |
|
342 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d’intérêts nets |
156 |
|
134 |
297 |
|
262 |
|
Produits autres que d’intérêts |
76 |
|
75 |
152 |
|
154 |
|
Total du résultat d’exploitation |
232 |
|
209 |
449 |
|
416 |
|
Variation des pertes de crédit attendues – (charge)/reprise |
(4) |
|
7 |
— |
|
4 |
|
Résultat d’exploitation net |
228 |
|
216 |
449 |
|
420 |
|
Total des charges d’exploitation |
(163) |
|
(162) |
(324) |
|
(329) |
|
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
65 |
|
54 |
125 |
|
91 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Services bancaires internationaux1 |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d’intérêts nets |
29 |
|
23 |
54 |
|
45 |
|
Produits autres que d’intérêts |
10 |
|
29 |
32 |
|
67 |
|
Total du résultat d’exploitation |
39 |
|
52 |
86 |
|
112 |
|
Variation des pertes de crédit attendues – (charge)/reprise |
(1) |
|
5 |
(3) |
|
16 |
|
Résultat d’exploitation net |
38 |
|
57 |
83 |
|
128 |
|
Total des charges d’exploitation |
(23) |
|
(18) |
(45) |
|
(40) |
|
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
15 |
|
39 |
38 |
|
88 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Marchés et Services liés aux valeurs mobilières1 |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d’intérêts nets |
10 |
|
7 |
19 |
|
12 |
|
Produits autres que d’intérêts |
21 |
|
17 |
38 |
|
33 |
|
Résultat d’exploitation net |
31 |
|
24 |
57 |
|
45 |
|
Total des charges d’exploitation |
(13) |
|
(14) |
(26) |
|
(26) |
|
Bénéfice avant la charge d’impôt sur le résultat |
18 |
|
10 |
31 |
|
19 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Centre général2 |
|
|
|
|
|
|
|
Produits d’intérêts nets |
1 |
|
— |
1 |
|
— |
|
Produits autres que d’intérêts |
3 |
|
8 |
3 |
|
10 |
|
Résultat d’exploitation net |
4 |
|
8 |
4 |
|
10 |
|
Total des charges d’exploitation |
(20) |
|
(43) |
(41) |
|
(59) |
|
Bénéfice/(perte) avant la charge d’impôt sur le résultat |
(16) |
|
(35) |
(37) |
|
(49) |
|
1 |
Avec prise d’effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d’activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d’activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour les périodes à l’étude. |
|
2 |
Le centre général n’est pas un secteur d’activité de la banque. Les nombres indiqués ci-dessus présentent un rapprochement des résultats des secteurs d’activité et de ceux de l’entité. |
Renseignements relatifs à la Banque HSBC Canada
La Banque HSBC Canada, filiale de HSBC Holdings plc (« Groupe HSBC »), est le chef de file des banques internationales au pays. Nous aidons des entreprises et des particuliers partout au Canada à faire des affaires et à gérer leurs finances, ici et à l’échelle mondiale, par l’entremise de quatre secteurs d’activité, soit Services aux entreprises, Gestion de patrimoine et services bancaires aux particuliers, Services bancaires internationaux1 et Marchés et Services liés aux valeurs mobilières1. Groupe HSBC vise à devenir carboneutre dans l’exécution de ses activités et de ses émissions financées et elle collabore avec ses clients afin d’accélérer la transition vers une économie sobre en carbone.
Le siège social de HSBC Holdings plc, société mère de la Banque HSBC Canada, est situé à Londres, au Royaume-Uni. HSBC sert des clients du monde entier à partir de ses bureaux répartis dans 63 pays et territoires en Europe, en Asie, dans les Amériques, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Avec des actifs totalisant 2 985 G$ US au 30 juin 2022, il est l’un des plus importants groupes de services bancaires et financiers au monde.
Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.hsbc.ca ou suivez-nous sur Twitter : @HSBC_CA ou sur Facebook : @HSBCCanada.
1 |
Avec prise d’effet au quatrième trimestre de 2021, nous avons scindé le secteur d’activité auparavant appelé « Services bancaires internationaux et marchés » en deux secteurs, soit « Services bancaires internationaux » et « Marchés et Services liés aux valeurs mobilières », afin de refléter nos nouveaux secteurs d’activité. Toutes les données comparatives ont été ajustées pour être conformes à la présentation adoptée pour la période à l’étude. |
Mise en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent document renferme des informations prospectives, dont des énoncés concernant les activités et projets futurs de la banque. Ces énoncés se caractérisent par le fait qu’ils ne reposent pas strictement sur des données ou événements passés ou en cours. Des énoncés prospectifs renferment souvent des termes ou expressions comme « prévoir », « estimer », « s’attendre à », « projeter », « avoir l’intention de », « planifier » et « croire », ainsi que des mots ou expressions similaires qui sont employés pour décrire le rendement financier ou opérationnel à venir. De par leur nature même, ces énoncés nous obligent à poser plusieurs hypothèses et sont assujettis à divers risques et incertitudes qui leur sont inhérents et qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent sensiblement de ceux envisagés dans les énoncés prospectifs. Nous prions le lecteur de ne pas se fier indûment à ces énoncés puisque de nombreux facteurs de risque pourraient donner lieu à des résultats réels nettement différents des attentes exprimées par les énoncés. Dans le rapport de gestion figurant dans le Rapport et états financiers annuels 2021, la rubrique « Risques » décrit les principaux risques auxquels la banque est exposée, risques qui, s’ils ne sont pas gérés comme il se doit, pourraient influer grandement sur ses résultats financiers à venir. Ces risques comprennent le risque de crédit, le risque de trésorerie (incluant le risque de capital, le risque de liquidité et de financement et le risque de taux d’intérêt), le risque de marché, le risque lié à la résilience, le risque de non-conformité à la réglementation, le risque lié aux crimes financiers, le risque lié aux modèles et le risque lié à la caisse de retraite. Les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent nettement des attentes exprimées par les énoncés prospectifs comprennent la conjoncture économique dans son ensemble et les conditions de marché, l’inflation, les politiques budgétaires et monétaires, les modifications des lois, de la réglementation et de l’approche de supervision, le degré de concurrence et les technologies de rupture, les cybermenaces et l’accès non autorisé aux systèmes, les modifications de nos notations de crédit, le risque lié aux changements climatiques, dont les conséquences des risques de transition et des risques matériels, la transition visant les taux interbancaires offerts (« TIO ») et le taux Canadian Dollar Offered Rate (« CDOR »), ainsi que d’autres risques comme les changements touchant les normes comptables, les changements de taux d’imposition, les changements de lois et règlements fiscaux et leur interprétation par les autorités fiscales, le risque de fraude de la part d’employés ou d’autres parties, les transactions non autorisées et réalisées par le personnel et l’erreur humaine. Notre capacité à concrétiser nos priorités stratégiques et à gérer de manière proactive les exigences du cadre réglementaire dépend du perfectionnement et de la fidélisation de nos cadres dirigeants et de nos employés les plus performants. Demeurer en mesure de recruter, de perfectionner et de conserver à notre emploi du personnel compétent dans un marché du travail des plus compétitifs et actifs se révèle toujours difficile. Nous surveillons les risques liés aux ressources humaines en veillant à la santé mentale et au bien-être de nos employés, surtout en ces temps de pandémie. Malgré les plans d’urgence que nous avons instaurés afin d’assurer notre résilience advenant des perturbations opérationnelles à la fois prolongées et majeures, notre capacité d’exercer nos activités pourrait souffrir d’une défaillance dans les infrastructures qui soutiennent nos activités et les collectivités avec lesquelles nous faisons des affaires, incluant, sans toutefois s’y limiter, une défaillance provoquée par une urgence de santé publique, une pandémie, une catastrophe écologique, un acte terroriste et un événement géopolitique. Les rubriques « Facteurs susceptibles d’avoir une incidence sur les résultats futurs » et « Répercussions de la COVID-19 et notre réaction » du Rapport et états financiers annuels 2021 renferment une description de ces facteurs de risque. Nous tenons à aviser le lecteur que la liste de facteurs de risque présentée ci-dessus n’est pas exhaustive et qu’il se peut que d’autres incertitudes et facteurs éventuels non mentionnés aux présentes nuisent à nos résultats et à notre situation financière. Tout énoncé prospectif paraissant dans ce document n’est valable qu’en date de celui-ci. Nous ne nous engageons nullement à réviser, à mettre à jour ou à modifier les énoncés prospectifs en raison de nouvelles informations, d’événements ultérieurs ou d’autres circonstances, et nous déclinons expressément toute obligation de le faire, sauf dans la mesure où les lois pertinentes sur les valeurs mobilières nous y contraignent.