OmniAction veut faire face à l'urgente nécessité de disposer d'instruments de mesure d'impact faisant l'objet d'un consensus dans le domaine agroalimentaire

From left to right: Lise Colyer, Prof Tim Lang, Anya Doherty, Gavin Wren, co-founders of OmniAction.org (Photo: Business Wire)

LONDRES--()--OmniAction est un nouvel organisme international ayant pour objectif de mesurer les répercussions sociales, sanitaires et de développement durable du système de production alimentaire. OmniAction créera un cadre vérifié, indépendant et scientifique mis tel un bien d'utilité publique à la disposition de tous les consommateurs et de tous ceux qui travaillent dans les secteurs agricoles et alimentaires.

L'événement inaugural officiel se déroulera sous forme de visioconférence Zoom à 16 h GMT le 27 janvier 2022. Les personnes désireuses d'y assister doivent s'inscrire en cliquant sur ce lien Eventbrite.

Le cofondateur d'OmniAction, Tim Lang, professeur émérite de la City University de Londres, déclare : « Une nutrition déficiente ne devrait pas être la contrepartie d'une réduction des dommages causés à l'environnement, tout comme il importe de ne pas y sacrifier le droit du travail, la jouissance des terres ou la sécurité alimentaire. Nous devons examiner toutes ces répercussions. »

« Il y a plus de dix ans, j'ai d'abord proposé une approche à critères multiples des normes alimentaires et la technologie rend désormais celle-ci possible. »

« Il est temps de créer un cadre mondial harmonisé et de développer des instruments de mesure d'impact qui constitueront une ressource pour l’ensemble du système agroalimentaire. »

La cofondatrice d'OmniAction et PDG de Foodsteps, Anya Doherty, indique : « Nous avons besoin d'une orientation en matière de références de durabilité alimentaire. »

« Pour l'instant, il est trop facile pour les entreprises de prendre de petits arrangements avec les informations d'identification présentes sur les étiquettes des produits alimentaires, surtout en ce qui concerne l'empreinte environnementale. On le constate presque chaque jour. »

« Nous avons besoin d'un cadre au sein duquel existe un consensus sur les répercussions à prendre en compte et nous devons aussi émettre des directives de surveillance de ces répercussions. »

La cofondatrice et directrice générale d'OmniAction, Lise Colyer, est également éditorialiste pour Quota.Media et ajoute : « Un tiers de l'ensemble des émissions de gaz à effet de serre provient du secteur agroalimentaire ; les experts décrivent cette chaîne d'approvisionnement comme étant rongée par le travail des enfants et le travail forcé ; la malnutrition et les régimes alimentaires déficients sont les phénomènes les plus meurtriers au monde. Il faut y remédier de toute urgence. »

« Tous les PDG ressentent des pressions directes ou indirectes en matière de communication autour de la durabilité et des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance. »

Des scientifiques des Nations Unies ont affirmé que les véritables effets du système alimentaire, notamment un droit du travail défaillant et des pratiques environnementales nuisibles, coûtaient à la société deux fois la valeur totale du secteur, soit 19,8 billions de dollars. Cet état de fait a été mis en évidence dans le rapport « True Value of Food » publié par le projet « Food Reform for Sustainability & Health » (réforme alimentaire pour la durabilité et la santé) du World Business Council for Sustainable Development (Conseil mondial des entreprises pour le développement durable).

OmniAction se chargera d'optimiser les données actuelles et agira en faveur de l'élaboration d'un cadre complet prenant en compte l'impact environnemental, le droit du travail, la souveraineté foncière, la sécurité alimentaire et la nutrition.

Cela permettra de faire naître un environnement de consommation faisant progresser la santé et la durabilité, qui favoriseront à leur tour le changement dans les environnements sectoriels et réglementaires.

L'équipe de lancement invite les personnes désireuses de participer à s'inscrire et à assister à l'événement officiel.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Contacts

Lise Colyer
lise@omniaction.org
+44 (0)7896 503 804

 

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