Ibrutinib (IMBRUVICA®) a permis d'améliorer de manière significative la survie générale sans progression de la maladie, en comparaison avec Chlorambucil, chez les patients atteints de leucémie lymphocytique chronique n'ayant encore jamais été traités

Ibrutinib a été associé à un taux de survie à 24 mois de 98%1

Données publiées dans leThe New England Journal of Medicine

Les données de Phase 3 ont également été publiées dans le programme officiel de presse de la réunion et exposition annuelles 2015 de la American Society of Hematology (Extrait n°495)

BEERSE, Belgique--()--Les données de l'essai clinique expérimental, randomisé, multicentrique ouvert de Phase 3 RESONATETM-2 (PCYC-1115) montrent que ibrutinib (IMBRUVICA®) était supérieur à chlorambucil dans tous les critères d'évaluation de l'efficacité mesurés chez les patients atteints de leucémie lymphocytique ou de petit lymphome lymphocytique chronique (CLL/SLL), âgés de 65 ans et plus, et n'ayant encore jamais été traités, a annoncé aujourd'hui la société Janssen-Cilag International NV. Ibrutinib a permis de prolonger de manière significative la survie sans progression de la maladie, le critère d'évaluation principal de cette étude, ainsi que la survie générale, un critère d'évaluation secondaire, tout en améliorant d'autres mesures hématologiques. Ibrutinib a notamment été associé à un taux de survie générale de 98%, contre 85% pour chlorambucil à 24 mois. Ces données seront incluses dans une présentation réalisée aujourd'hui dans le cadre du programme de presse officiel lors de la réunion 2015 de la American Society of Hematology (ASH) à Orlando, en Floride, aux Etats-Unis, et simultanément publiée dans leThe New England Journal of Medicine.1 IMBRUVICA est co-développé par Cilag GmbH International, une société du groupe Janssen Pharmaceutical, et Pharmacyclics LLC, une société appartenant à AbbVie. Les filiales de Janssen commercialisent IMBRUVICA dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) ainsi que dans le reste du monde à l'exception des Etats-Unis, où Janssen Biotech, Inc. et Pharmacyclics LLC le commercialisent conjointement.

Ces données seront présentées en intégralité par le chercheur responsable de l'étude RESONATE-2, Alessandra Tedeschi, M.D., directeur médical chez Azienda Ospedaliera Niguarda Ca Granda, à Milan, en Italie, lors de la session intitulée " La leucémie lymphoïde chronique: les thérapies, à l'exception des transplantations: le traitement initial de la leucémie lymphoïde chronique à l'exception de la transplantation", qui se déroulera lundi 7 décembre à 7:30 Heure de l'Est des Etats-Unis/ 13:30 Heure d'Europe centrale.

" L'essai RESONATE-2 est un essai révolutionnaire en tant que premier essai randomisé de phase 3 portant sur l'antagoniste de récepteur de cellules B, ibrutinib, dans la leucémie lymphoïde chronique encore jamais traitée," a déclaré le Professeur Peter Hillmen, du service d'Hématologie du St. James’s University Hospital de Leeds, chercheur dans l'essai clinique RESONATE-2. "Les résultats de cet essai sont impressionnants. L'amélioration de la survie sans progression de la maladie pour ibrutinib en traitement de première intention, en comparaison avec chlorambucil, est statistiquement significative. L'amélioration de la survie générale pour ibrutinib, en comparaison avec chlorambucil, même avec un passage préétabli à ibrutinib, est inattendue, ce qui indique que les meilleurs résultats seront obtenus avec ibrutinib, lorsque celui-ci est utilisé en tant que traitement initial chez les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique."

Le Independent Review Committee (IRC) a trouvé que ibrutinib permettait de prolonger de manière significative la survie sans progression de la maladie, en comparaison avec chlorambucil. Le rapport de risque était de 0,16 (Intervale de confiance 95%; 0,09-0,28; P<0,001), qui représente une réduction du risque de progression ou de décès de 84%, en comparaison avec chlorambucil (moyenne non atteinte contre 18,9 mois); le taux de survie sans progression de la maladie à 18 mois était de 90% pour ibrutinib contre 52% pour chlorambucil. Ibrutinib a également permis de prolonger de manière significative la survie générale (rapport de risque=0,16: Intervale de confiance 95%; 0,05; 0,56; P=0,001) avec un taux de survie à 24 mois de 98%, en comparaison avec 85% des patients dans la branche de traitement par chlorambucil. En outre, ibrutinib était associé à un taux significativement plus élevé de réponse globale (86% contre 35%; P<0,001) tel qu'évalué par l'IRC et a permis d'accroître de manière significative le taux d'amélioration durable des globules rouges et des plaquettes. 1

"L'essai RESONATE-2 est le premier essai de phase 3 de bout-en-bout à évaluer l'efficacité et l'inocuité de la monothérapie par ibrutinib contre la chimiothérapie traditionnelle chez les patients atteints de leucémie lymphoïde chronique encore jamais traités. La pertinence de ces données peut tout à fait représenter un tournant dans le traitement de la LLC/LLPC et modifier le moment où il conviendra de traiter ces patients par ibrutinib," a déclaré Jane Griffiths, présidente du Groupe Janssen Europe pour le Moyen-Orient et l'Afrique. "Nous continuons d'observer des résultats positifs avec ibrutinib, et il est particulièrement enthousiasmant de constater l'étendue des nouvelles données lors de la réunion de la American Society of Hematology (ASH), qui témoigne de notre engagement à explorer l'utilisation d'ibrutinib pour le traitement des patients susceptibles d'en tirer le plus profit, ainsi que de notre offre croissante dans le domaine de l'hématologie."

L'inocuité d'ibrutinib chez cette population de patients était conforme à celle des études antérieurement rapportées. Il convient de relever que le suivi de l'exposition au traitement et des événements indésirables était près de 2,5 fois plus longue pour ibrutinib, en comparaison avec chlorambucil, et que 87% des patients randomisés pour être traités par ibrutinib suivaient toujours cette thérapie au moment où l'analyse a été effectuée. Dans l'ensemble, les événements défavorables ayant abouti à une suspension du traitement étaient moins fréquents avec ibrutinib qu'avec chlorambucil (9% contre 23%, respectivement). Les événements défavorables les plus courants (≥20%) quel que soit le grade, dans l'essai RESONATE-2, pour ibrutinib étaient la diarrhée (42 %), la fatigue (30 %), la toux (22 %) et la nausée (22 %); les événements défavorables pour chlorambucil incluaient la nausée (39 %), la fatigue (38 %), la neutropénie (23 %) et les vomissements (20 %). L'hypertension a été observée selon un taux plus élevé dans la branche de traitement par ibrutinib (14 %; Grade 3 dans 4% des cas, aucun médicament de grade 4 ou 5). Tous les six patients présentant une hypertension de Grade 3 ont été traités par des médicaments contre l'hypertension et n'ont pas nécessité de réduction ni de suspension de dose d'ibrutinib. Quatre patients traités par ibrutinib ont été victimes d'une hémorragie de Grade 3 et un patient a été victime d'une hémorragie de Grade 4.1 La fibrillation auriculaire s'est produite chez huit patients (six pour cent) dans la branche de traitement par ibrutinib. Il s'agissait principalement d'une fibrillation de Grade 2 chez six patients et de Grade 3 chez deux patients. Elle a été traitée par une suspension du traitement chez deux patients et sans modification de dose chez les patients restants.

Trois décès ont été relevés dans la branche de traitement par ibrutinib contre 17 dans celle par chlorambucil au cours de la période de suivi moyenne de 18,4 mois. Aucun des patients ayant progressé dans la branche de traitement par ibrutinib n'est décédé lors de la période de suivi consécutive. 1

RESONATE-2 est un essai sponsorisé par Pharmacyclics. C'est la deuxième étude de Phase 3 à démontrer un bénéfice significative du traitement par ibrutinib contre un comparateur.2,3 269 patients atteints de LLC /LLPC âgés de 65 ans et plus, n'ayant encore jamais été traités aux Etats-Unis, dans l'UE et dans d'autres régions, ont été recrutés pour cet essai. Les patients atteints de LLC avec suppression du bras court du chromosome 17 (del 17p LLC) ont été exclus de l'étude car l'agent unique chlorambucil n'est pas reconnue comme thérapie adaptée à cette population de patients. Les patients ont été randomisés pour recevoir une dose orale quotidienne de 420mg d'ibrutinib jusqu'à progression de la maladie ou toxicité, ou une dose comprise entre 0,5 et 0,8 mg/kg de chlorambucil aux jours 1 et 15 de chaque cycle de 28 jours, pendant une durée pouvant aller jusqu'à 12 cycles. Le critère d'évaluation principal de cette étude était la survie sans progression de la maladie, telle qu'évaluer par un IRC selon les critères fixés par le International Workshop on Chronic Lymphocytic Leukaemia (iWCLL) 2008, avec modification pour le lymphocytose liée au traitement. Les critères d'évaluation secondaires comprenaient le taux de réponse globale, la survie générale, le taux d'amélioration hématologique et l'innocuité. 1

Les résultats de l'essai RESONATE-2 constituent la base d'une application de variation de Type II de l'Agence européenne du Médicament (AEM), qui vise à élargir l'autorisation de commercialisation existante pour IMBRUVICA dans le but d'inclure son utilisation à des patients atteints de LLC encore jamais traités, ce qui a été annoncé le 3 novembre 2015. Pour de plus amples informations au sujet de cette étude, veuillez consulter www.clinicaltrials.gov.

À propos d'IMBRUVICA® (ibrutinib)

Ibrutinib est un inhibiteur de la tyrosine kinase de Bruton (BTK), premier de sa classe, qui agit en formant une liaison covalente forte avec la BTK afin de bloquer la transmission des signaux de survie des cellules dans les cellules B malignes.4 En bloquant cette protéine BTK, IMBRUVICA aide à tuer et à réduire le nombre de cellules cancéreuses. Il ralentit par ailleurs l'aggravation du cancer.5

Ibrutinib est actuellement homologué en Europe pour le traitement des patients adultes atteints de lymphome à cellules du manteau (LCM) récidivant ou réfractaire ; des patients adultes atteints de leucémie lymphocytaire chronique (LLC) ayant reçu au moins un traitement antérieur, ou des patients atteints de LLC recevant un traitement de première intention en présence de délétion 17p ou de mutation du gène TP53 chez les patients jugés inaptes pour une chimioimmunothérapie ;6 et chez les patients adultes atteints de macroglobulinémie de Waldenström (MW) ayant reçu au moins un traitement antérieur, ou pour le traitement de première ligne des patients jugés inaptes pour une chimioimmunothérapie;6 L’autorisation réglementaire pour des utilisations additionnelles n’a pas encore été accordée. Des utilisations expérimentales pour l’ibrutinib, seul ou en combinaison avec d’autres traitements, sont en cours pour plusieurs types de cancers du sang dont la LLC, le LCM, la MW, le lymphome diffus à grandes cellules B, le lymphome folliculaire, le myélome multiple et le lymphome de zone marginale.

Ibrutinib est développé conjointement par Cilag GmbH International, qui fait partie des sociétés pharmaceutiques Janssen, et par Pharmacyclics LLC, qui fait partie du groupe AbbVie. Des filiales de Janssen commercialisent Ibrutinib dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) ainsi que dans le reste du monde, à l’exception des États-Unis, où Janssen Biotech, Inc. et Pharmacyclics LLC assurent une commercialisation conjointe. Janssen et Pharmacyclics LLC poursuivent un vaste programme de développement clinique pour Ibrutinib, incluant des engagements dans une étude de phase 3 effectuées sur de multiples populations de patients – veuillez consulter le résumé des caractéristiques produit d’IMBRUVICA pour de plus amples informations.

À propos de la LLC

Chez la plupart des patients, la LLC est généralement une leucémie des globules blancs appelés lymphocytes B, à évolution lente.7 L'âge médian du diagnostic est de 72 ans,8 et le taux d'incidence chez les hommes et les femmes en Europe est respectivement d’environ 5,87 et 4,01 cas pour 100 000 personnes chaque année.9 La LLC est une maladie chronique ; la durée de survie globale médiane varie entre 18 mois et plus de 10 ans en fonction du stade de la maladie.10 La maladie évolue finalement chez la majorité des patients, et les patients ont à chaque fois un nombre plus réduit d’options de traitement. On prescrit souvent aux patients de multiples lignes de traitement lorsqu’ils rechutent ou deviennent résistants aux traitements.

On retrouve des cellules de la LLC aussi bien dans le système lymphatique que dans le sang.11 Lorsque les cellules cancéreuses sont situées principalement dans les ganglions lymphatiques, la maladie est appelée petit lymphome lymphocytaire (PLL). La LLC et le PLL sont considérés comme des manifestations différentes de la même entité, selon le classement de la quatrième édition de la Classification des tumeurs des tissus hématopoïétiques et lymphoïdes de l'Organisation mondiale de la santé. .12

Janssen dans le domaine de l'oncologie

En matière d’oncologie, notre objectif est de modifier fondamentalement la manière dont nous comprenons, diagnostiquons et prenons en charge le cancer, ce qui renforce notre engagement envers les patients nous inspirant. Dans notre quête de moyens novateurs permettant de faire face aux problèmes posés par le cancer, nous concentrons principalement nos efforts sur plusieurs solutions de traitement et de prévention. Nous travaillons notamment sur les tumeurs hématologiques et les cancers de la prostate et des poumons ; l’interception du cancer avec pour objectif le développement de produits qui interrompent le processus cancérigène ; les biomarqueurs pouvant contribuer à nous guider dans une utilisation ciblée et personnalisée de nos thérapies ; ainsi que l’identification et le traitement sûrs et efficaces des changements précoces du micro-environnement tumoral.

À propos de Janssen

Les sociétés pharmaceutiques Janssen du groupe Johnson & Johnson s'emploient à répondre aux besoins médicaux non satisfaits les plus importants de notre époque dans des domaines tels que l'oncologie (par ex. le myélome multiple et le cancer de la prostate), l’immunologie (par ex. le psoriasis), les neurosciences (par ex. la schizophrénie, la démence et la douleur), les maladies infectieuses (par ex. le SIDA/VIH, l’hépatite C et la tuberculose) ainsi que les maladies cardiovasculaires et métaboliques (par ex. le diabète). Animés par notre engagement envers les patients, nous développons des solutions durables et intégrées en matière de soins de santé, en travaillant côte à côte avec les acteurs du secteur des soins de santé, sur la base de partenariats reposant sur la confiance et la transparence. Pour tout complément d'information, rendez-vous sur www.janssen-emea.com. Suivez-nous sur www.twitter.com/janssenEMEA pour nos toutes dernières nouvelles.

Mises en garde concernant les déclarations prospectives

Le présent communiqué de presse contient des "déclarations prospectives" telles que définies par le Private Securities Litigation Reform Act de 1995 portant sur le développement produit. Il est recommandé au lecteur de ne pas se fier indûment à ces déclarations prospectives. Celles-ci sont basées sur les attentes actuelles d'événements futurs. Si des hypothèses sous-jacentes s'avèrent inexactes, ou que des risques ou des incertitudes, connus ou non, se matérialisent, les résultats réels pourraient présenter un écart important par rapport aux attentes et aux prévisions de n'importe quelle société Janssen Pharmaceutical et/ou de Johnson & Johnson. Parmi les risques et les incertitudes figurent, mais sans s'y limiter: les défis et les incertitudes inhérentes au développement de nouveaux produits, dont l'obtention d'approbations réglementaires; l'incertitude de la réussite commerciale; la concurrence, dont les avancées technologiques, les nouveaux produits et brevets octroyés aux concurrents; les défis posés aux brevets; les préoccupations en termes d'efficacité produit et d'innocuité résultant en rappels de produits ou mesures réglementaires; les changements de comportement et de schémas de dépenses ou la détresse financière des acheteurs de produits et de services de soins de santé; les modifications des lois et réglementations applicables, dont les réformes globale des soins de santé; les difficultés et les retards de fabrication; ainsi que les tendances visant la maîtrise du coûts des soins de santé. Une liste et description plus amples de ces risques, incertitudes et autres facteurs peuvent être consultées dans le rapport annuel de Johnson & Johnson, sur le Formulaire 10-K de l'exercice clos au 28 décembre 2014, dont l'Annexe 99, ainsi que les dépôts subséquents auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces dépôts sont disponibles en ligne sur www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés Janssen Pharmaceutical ni Johnson & Johnson ne s'engagent à mettre à jour toute déclaration prospective en résultat d'informations nouvelles ou d'événements ou d'évolutions futurs.

Références

1. Burger JA, Tedeschi A, Barr PM, et al. Ibrutinib vs chlorambucil in treatment-naïve chronic lymphocytic leukemia. N Engl J Med. 2015:1-8.

2. Byrd JC, Brown JR, O’Brien S, et al. Ibrutinib versus ofatumumab in previously treated chronic lymphoid leukemia. N Engl J Med. 2014;371:213-23.

3. Brown JR, Hillmen P, O’Brien S, et al. Updated efficacy including genetic and clinical subgroup analysis and overall safety in the phase 3 RESONATE™ trial of ibrutinib versus ofatumumab in previously treated chronic lymphocytic leukemia/small lymphocytic lymphoma. Blood. 2014;124(21):abstract 3331.

4. O’Brien S, Furman RR, Coutre SE, et al. Ibrutinib as initial therapy for elderly patients with chronic lymphocytic leukaemia or small lymphocytic lymphoma: an open-label, multicentre, phase 1b/2 trial. Lancet Oncol. 2014;15:48-58.

5. European Medicines Agency. How is the medicine expected to work? http://www.ema.europa.eu/ema/index.jsp?curl=pages/medicines/human/orphans/2012/06/human_orphan_001058.jsp&mid=WC0b01ac058001d12b Last accessed November 2015.

6. Imbruvica Summary of Product Characteristics, October 2015. Available at: http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/EPAR_-_Product_Information/human/003791/WC500177775.pdf Last accessed November 2015.

7. American Cancer Society. What is chronic lymphocytic leukemia? Available at: http://www.cancer.org/cancer/leukemia-chroniclymphocyticcll/detailedguide/leukemia-chronic-lymphocytic-what-is-cll Last accessed November 2015.

8. Eichhorst B, Dreyling M, Robak T, Montserrat E, Hallek M; ESMO Guidelines Working Group. Chronic lymphocytic leukemia: ESMO Clinical Practice Guidelines for diagnosis, treatment and follow-up. Ann Oncol 2011;22(Suppl.6):vi50-vi54.

9. Sant M, Allemani C, Tereanu C, et al. Incidence of hematologic malignancies in Europe by morphologic subtype: results of the HAEMACARE project. Blood 2010;116:3724-34.

10. Sagatys EM, Zhang L. Clinical and laboratory prognostic indicators in chronic lymphocytic leukemia. Cancer Control 2012;19:18-25.Stilgenbauer S, Zenz T. Understanding and Managing Ultra High-Risk Chronic Lymphocytic Leukemia. Hematology. 2010;481-8.

11. Hallek M. Signaling the end of chronic lymphocytic leukemia: new frontline. Blood. 2013;122:3723-34.

12. Santos FP, O’Brien S. Small lymphocytic lymphoma and chronic lymphocytic leukemia are they the same disease? Cancer J. 2012;8:396-403.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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