CARSON CITY, Nevada et LONDRES--(BUSINESS WIRE)--Le Committee to Restore Nymox Shareholder Value, LLC (CRNSV), dont l’objectif est de recouvrer la valeur actionnariale de NYMOX PHARMACEUTICAL CORP (« NYMX-Q ») en mettant à nouveau en œuvre un projet de partenariat avec une société internationale hautement respectée travaillant dans les domaines de la pharmacie spécialisée et des solutions de santé, a aujourd’hui réfuté avec résolution toutes les allégations formulées dans un communiqué de presse diffusé par les dirigeants actuels de Nymox.
Chris Riley, l’un des membres fondateurs du CRNSV, a déclaré : « Non seulement les déclarations mensongères contenues dans le communiqué de presse distribué par Nymox constituent une déformation des faits, mais elles sont également la marque d’agissements contraires aux intérêts des actionnaires. La position et la mission que nous avons adoptées ont pour but de profiter à tous les actionnaires par le biais de partenariats commerciaux qui augmenteront la valeur de l’investissement dans Nymox, en assurant le succès d’un médicament capable d’améliorer la santé de la prostate de millions d’hommes à travers le monde. »
En réponse aux accusations malveillantes, diffamatoires et fausses contenues dans le communiqué, le CRNSV tient à clarifier la question en exposant les faits suivants :
- Lorsque la proposition sera présentée correctement et avec précision à tous les actionnaires de Nymox, petits et grands, qui font face à des difficultés depuis longtemps, ces derniers soutiendront probablement les changements prévus dans la composition du conseil d’administration et de la direction, ainsi que le partenariat proposé avec une société internationale de pharmacie spécialisée et de services de santé jouissant d’une grande crédibilité. Ce partenariat proposé devrait permettre à Nymox d’éviter un nouveau déclin et de se redresser.
- L’action de la Société visant à révoquer deux administrateurs a obtenu 51 % des voix, ce qui constitue le minimum légal. Suite à la révocation de messieurs Lanham et de Cutler du conseil d’administration, les actionnaires qui composent les 51 % des voix ont demandé l’approbation du commissaire aux comptes de la Société, TPS Thayer, pour prouver l’exactitude et l’intégrité du soutien revendiqué de 51 %. À ce jour, cette approbation n’a pas été apportée.
- La discussion du conseil d’administration sur la transaction proposée ne peut pas être considérée comme « approfondie », car un seul membre du conseil a été informé de l’accord, et nous pensons qu’il n’a pas reçu des informations correctes, comme en témoignent le dernier communiqué et les allégations portant sur la structure de la dette qui ne constituent pas une représentation fidèle des termes répondant aux exigences de financement sans recours du fonds de roulement. Le partenaire potentiel a proposé de faire connaître l’opération au conseil d’administration et aux principaux actionnaires, pour veiller à ce que ses intentions et avantages, ou le partenariat proposé soient présentés correctement, offre qui est toujours refusée à ce jour par les membres du conseil. Le Comité continue de prier instamment le conseil de rencontrer le partenaire dans un proche avenir afin de discuter d’une voie positive à suivre.
- Les informations concernant l’émission d’actions ordinaires telles que présentées par la Société sont tout à fait fausses. Le partenaire impliqué dans la relation proposée a observé un taux de rotation élevé parmi les membres du personnel et les cadres de Nymox. Étant donné que le partenaire prévoyait d’injecter 12,5 millions USD de fonds sans recours, il souhaitait voir en place une équipe de direction et un conseil d’administration stables, motivés et rationnels pour bien travailler en partenariat et assurer le succès.
- Il était prévu que M. Lanham, qui détient actuellement un million d’actions, reçoive deux millions d’actions supplémentaires. Il s’est vu promettre 300 000 actions par an pendant neuf ans par Paul Averback (actuel PDG de Nymox), mais les actions n’ont été émises que pendant deux des neuf années.
- M. Riley devait quant à lui recevoir trois millions d’actions.
- Cela aurait donné à MM. Lanham et Riley entre 2 et 3 % du capital, ce qui est tout à fait habituel pour des cadres d’entreprises en démarrage qui reçoivent des salaires inférieurs aux taux du marché, et qui permet de créer une stabilité à long terme tout en motivant l’équipe de direction à atteindre les étapes et les objectifs clés lors de la commercialisation de la Société. En retour, cela permet également de récompenser les actionnaires qui souffrent depuis longtemps en permettant des cours boursiers plus élevés accompagnés de distributions de dividendes une fois les revenus générés.
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Pendant des années et encore à l’heure actuelle, M. Averback a émis en sa faveur 250 000 actions par mois (soit 1 % des capitaux propres de la Société chaque trimestre, ou 4 % par an dans le cadre d’une procédure anti-dilution) ainsi qu’un salaire annuel de 660 000 USD durant de nombreuses années. Toutes ces informations publiques, qui peuvent être trouvées dans les documents déposés auprès de la SEC, ont fait l’objet de nombreux commentaires sur la direction dans les salons de discussion et ont aliéné les actionnaires de base, grands et petits.
- Les partenaires qui aident des entreprises tierces en apportant des capitaux sans recours importants et des millions de dollars en termes de services, lesquels seront récupérés après un lancement réussi, réclament généralement un siège au conseil d’administration, bien que cela soit négociable. Le membre du conseil d’administration M. Robinson, bien qu’ayant investi un montant plus modeste, a reçu des actions et un siège au conseil d’administration.
- Une bonne gouvernance d’entreprise commence par un conseil d’administration composé de professionnels qui s’acquittent de leurs obligations fiduciaires et respectent les actionnaires.
- Lors de ses rencontres avec le partenaire, M. Averback a montré qu’il ne comprenait pas la différence entre dette et fonds de roulement, comme en témoigne le dernier communiqué de presse. Le partenariat proposé portait sur 12,5 millions USD de financement sans recours, somme qui serait comptabilisée comme capital supplémentaire, et versée en tant que remboursement pour compenser l’échec de la demande d’autorisation de mise sur le marché aux États-Unis déposée auprès de la FDA.
- Le membre du conseil d’administration M. Robinson a conclu un accord pour une dette qui a été inscrite au bilan à un taux d’intérêt de 10 % pour un prêt d’un million USD qui figure également au bilan de Nymox. On ne sait pas exactement si cette dette constitue un mécanisme de financement permanent pour la Société, étant donné que M. Averback n’a pas fait l’objet d’une dilution initiale suite aux transactions de la dette. La facilité d’emprunt de M. Robinson n’a fait l’objet d’aucun dépôt auprès de la SEC ni d’aucun communiqué de presse.
- M. Robinson va-t-il se voir offrir des actions, étant donné que la Société, qui ne prévoit pas de revenus pour l’année à venir, n’est pas en mesure de rembourser la dette ou les intérêts ? Le membre du conseil d’administration M. Robinson préfère-t-il ses lignes de crédit à court terme et à taux d’intérêt élevé, à un investissement en fonds de roulement sans recours qui non seulement permettrait de financer la Société pendant deux ans au taux d’absorption actuel, mais s’accompagnerait également de services et d’une expertise qui seront engagés et déployés pour garantir l’obtention des autorisations de mise sur le marché et la réussite des lancements sur le marché de Nymox ?
- M. Averback n’a assisté à aucune réunion du conseil d’administration ou assemblée annuelle des actionnaires depuis plus de trois ans, bien qu’ayant été encouragé à le faire et sollicité à de nombreuses reprises par la direction générale.
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Malheureusement, la direction actuelle de Nymox n’est pas en mesure de comprendre cet accord et a continuellement déformé les faits, comme en témoignent les déclarations incorrectes de M. Averback dans le récent communiqué de presse.
- La proposition ne prévoit pas que 18 millions d’actions soient émises à MM. Lanham et Riley. Cette déclaration entièrement fausse montre à quel point la personne qui l’a faite est éloignée de la réalité commerciale.
- Le partenaire commercial potentiel a accepté d’acheter 500 000 actions à un montant de 2 USD chacune pour tenter d’aider à maintenir l’inscription à la cote du NASDAQ des actions de Nymox. Le partenaire potentiel, qui a agi de bonne foi et en faveur de Nymox, a déclaré qu’il n’avait aucune intention de détenir des actions ni de prendre le contrôle. M. Averback n’était pas au courant que les actions de trésorerie pouvaient être vendues à un prix supérieur à celui du marché.
Le Comité estime que la question clé est de savoir dans quelle mesure ces déclarations fausses, diffamatoires et calomnieuses concernant Nymox publiées dans le récent communiqué de presse pourraient avoir une influence sur les perspectives de Nymox d’être améliorée par une proposition de création de valeur très attrayante pour les actionnaires. Cela s’applique non seulement au financement, mais aussi à l’acquisition de l’expertise désespérément requise pour lancer une société de soins de santé et un nouveau traitement en Europe, après l’échec de la demande d’autorisation déposée auprès de la FDA.
À propos du Committee to Restore Nymox Shareholder Value, LLC (CRNSV)
Le CRNSV a été formé par d’anciens dirigeants de NYMOX PHARMACEUTICAL CORP (« NYMX-Q ») dans le but de restaurer la valeur actionnariale de NYMOX (la Société). Ayant pour mission de surmonter la forte baisse et la volatilité du cours de l’action suite à la décision catastrophique de radiation du NASDAQ, le CRNSV a envoyé des lettres de réfutation à tous les actionnaires de la Société et continue de souligner le manque de leadership de la Société, l’incapacité à réaliser le potentiel de résultats précieux et prometteurs par le biais d’une relation avec une société internationale hautement respectée travaillant dans le domaine des solutions de soins de santé et de la pharmacie spécialisée, et ce avec une expertise qui permettrait d’aider à commercialiser le produit contre l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) de la Société, ainsi que l’absence de solution ou de plan de la part de Nymox pour assurer la récupération financière de la valeur actionnariale. Le CRNSV est basé à Carson City, dans le Nevada et possède également des bureaux à Londres. Les documents du CRNSV sont disponibles sur https://www.crnsv.com/
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