Selon le dernier rapport d’EY, la performance du secteur des médias et du divertissement surpassera les principaux indices boursiers en 2013

  • Le segment des opérateurs du câble sera le plus rentable de l’industrie des médias et du divertissement, avec une marge brute de 41 %
  • Le segment des médias interactifs affiche fièrement une forte progression de 22 % du BAIIA en dollars
  • L'industrie cinématographique et télévisuelle parvient à réduire ses coûts de production en limitant le lancement de nouveaux produits et à augmenter ses recettes issues des plateformes de streaming (diffusion en flux), générant ainsi un taux de croissance annuel composé de 11 %

Figure 1: EBITDA Margin Percentage (2009-2013e) (Graphic: Business Wire)

LOS ANGELES--()--Pour la première fois en cinq ans, le secteur des médias et du divertissement devrait surpasser les principaux indices boursiers en 2013, selon le nouveau rapport publié par EY, intitulé « Spotlight on Profitable Growth: Media and Entertainment, Vol. VI » (Pleins feux sur une croissance rentable : Médias et divertissement, volume VI). Les recettes et le BAIIA en dollars n’ont cessé de progresser pour les entreprises du divertissement, pendant que de nombreux autres secteurs continuent de se débattre en pleine récession économique.

Le rapport offre une comparaison de la performance globale du secteur des médias et du divertissement par rapport aux principaux indices boursiers et établit un palmarès des 10 segments de l'industrie des médias et du divertissement selon leur rentabilité et leur taux de croissance.

En 2013, la performance du secteur des médias et du divertissement devrait surpasser les principaux indices boursiers intersectoriels (voir figure 1). Les prévisions de marge bénéficiaire 2013 pour les 10 segments de l’industrie des médias et du divertissement évalués par EY indiquent un taux de 26 %, surpassant l’indice S&P 500 à 24 %, l'indice FTSE 100 à 23 %, l’indice CAC 40 à 18 %, l’indice DAX 30 à 16 % et l’indice Nikkei à 12 %.

John Nendick, directeur mondial Médias et divertissement chez EY, commente : « Les entreprises du secteur des médias et du divertissement parviennent à maintenir et à développer leur activité essentiellement grâce à l’augmentation de leur chiffre d’affaires numérique et à la réduction des frais généraux liés à leur activité de médias traditionnels. Dans les marchés émergents, le développement de la publicité ainsi que l’augmentation des revenus et de la consommation de médias ont également favorisé la croissance du chiffre d'affaires et alimentent la croissance à long terme, tandis que la migration des consommateurs des marchés matures vers le numérique se poursuit. »

À l’étude de la rentabilité globale des 10 segments du secteur des médias et du divertissement au cours des cinq années couvertes par le rapport, 2009 à 2013 (figure 2), on constate que les opérateurs du câble enregistrent la plus forte rentabilité moyenne avec 41 %, suivis par les réseaux câblés avec 37 %, les médias interactifs avec 35 %, la télévision par satellite avec 26 %, les jeux électroniques avec 25 %, les conglomérats avec 23 %, les services de contenu et d’information avec 19 %, la télédiffusion avec 17 %, la production cinématographique et télévisuelle avec 10 % et la musique avec 10 %.

En matière de prévisions de rentabilité pour 2013, le palmarès du secteur des médias et du divertissement diffère de la moyenne quinquennale, avec en tête les opérateurs du câble avec 41 %, suivi des réseaux câblés avec 38 %, les médias interactifs avec 33 %, les jeux électroniques avec 26 %, la télévision par satellite avec 25 %, les conglomérats avec 25 %, la télédiffusion avec 19 %, les services de contenu et d’information avec 19 %, la production cinématographique et télévisuelle avec 12 % et la musique avec 10 %.

Un examen du taux de croissance annuel composé pour 2009-2013 (figure 2) révèle que le segment des médias interactifs affiche la plus forte croissance du BAIIA en dollars du secteur des médias et du divertissement, avec 22 %, suivi par les jeux électroniques avec 14 %, la production cinématographique et télévisuelle avec 11 %, les réseaux câblés avec 10 %, les conglomérats avec 9 %, la télédiffusion avec 9 %, la télévision par satellite avec 8 %, les opérateurs du câble avec 6 %, les services de contenu et d’information avec 2 % et la musique avec 1 %.

Le rapport fournit également un éclairage spécifique sur chacun des 10 segments de l’industrie des médias et du divertissement, pointant les opportunités, les défis et les perspectives de croissance future. Faits marquants :

  • Les entreprises de médias interactifs enregistrent une croissance soutenue alimentée par l’augmentation de la publicité en ligne.
  • Le BAIIA en dollars pour les entreprises de jeux électroniques progresse à la faveur de l'augmentation de la consommation sur les plateformes de jeux de société et de jeux vidéo occasionnels.
  • Malgré la hausse des coûts de programmation, les sociétés de télévision par satellites affichent une croissance régulière grâce à des mesures de contrôle des dépenses et à l’augmentation des recettes.
  • Les annonceurs publicitaires apprécient toujours la capacité des cha
  • En 2012, les recettes mondiales du segment de la musique ont progressé pour la première fois depuis 1999 grâce à l’expansion des services de diffusion musicale sous licence et des téléchargements payants de musique numérique.
  • Les entreprises de la presse écrite sont toujours aux prises avec des difficultés à cause du déclin des recettes publicitaires et d'abonnement. Toutefois, les entreprises de services d’information économique enregistrent des recettes et des marges stables.

À propos du centre d’excellence mondial Médias et Divertissement d’EY

Dans un secteur régi par la créativité et l'innovation, la barre de l'excellence est haute. Vous devez être capables d’intégrer de nouvelles technologies, d’imaginer de nouveaux modèles de distribution et de répondre aux exigences d’un consommateur toujours plus insatiable. Dans le même temps, il est primordial de gérer vos coûts, de dépasser les attentes de vos parties prenantes et de vous conformer à de nouvelles réglementations. Il y a toujours un nouveau défi qui vous attend. Le centre d’excellence mondial Médias et Divertissement d’EY peut vous aider. Nous avons rassemblé une équipe mondiale hautement performante de professionnels des médias et du divertissement spécialistes des problématiques fiscales, de l’assurance, des transactions et du conseil mettant leur expertise au service des chefs de file du secteur. Notre réseau de professionnels collabore et partage son expertise dans le monde entier, offrant une qualité de service irréprochable à nos clients et tirant parti de notre position de leader du marché pour vous fournir une information rapide, pertinente et fiable.

À propos d’EY

EY est un chef de file mondial des services d’assurance, de fiscalité, de transactions et de conseil. Les perspectives et services de qualité que nous proposons aident à bâtir la confiance sur les marchés financiers et dans les économies du monde entier. Nous développons des leaders hors du commun qui s’unissent pour concrétiser nos promesses vis-à-vis de l’ensemble de nos parties prenantes. Nous jouons ainsi un rôle capital pour la construction d’un monde fonctionnant mieux pour notre personnel, nos clients et nos communautés.

EY désigne l’organisation mondiale et peut faire référence à une ou plusieurs entreprises membres d'Ernst & Young Global Limited, chacune d’entre elles étant une entité juridique distincte. Ernst & Young Global Limited, une entreprise britannique à responsabilité limitée par garantie, ne fournit aucun service à la clientèle. Pour de plus amples informations à propos de notre organisation, consultez ey.com.

Ce communiqué de presse a été émis par EYGM Limited, une société membre de l’organisation internationale EY qui ne délivre pas non plus de services aux clients.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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EY - Relations avec les médias internationaux
Bijal Tanna
+44-20-7951-8837
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The Honig Company, LLC
Steve Honig
818-986-4300
press@honigcompany.com

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